Lyon : colline de fourvière

Après deux excursions, j’ai déjà repris goût au plaisir de prendre mon appareil photo et de partir à l’aventure dans les rues de Lyon. Certes, l’aventure ne dure que quelques heures…
Et me revoilà donc à la Station Vieux-Lyon, avec la ferme intention de prendre la direction de Fourvière. Fermeté qui s’évapore aussitôt que surgit une bande de visiteurs en culotte courte et leurs encadrants, émettant un niveau de décibels rivalisant avec le périphérique.

Direction donc Saint-Just, avec un arrêt à Minimes – Théâtres Romains. L’occasion d’expérimenter le « tangage » de la rame à cette station, qui fait s’exclamer le groupe de touristes américains qui se trouvent avec moi. Je laisse la guide – qui les attendait sur le quai – leur expliquer qu’il n’y a pas de danger, et qu’il faut sortir, là… maintenant… parce que la rame va partir…

Sont-ils sortis à temps ? je n’en doute pas. Par contre, j’ai plus de doute quant à ma stratégie de relier Fourvière via les Minimes. J’ai un peu sous-estimé… le dénivelé… Ou comment faire 10 mn de Pilates en bénéficiant d’une vue imprenable sur Lyon (en excluant les 300 m de travaux sur les 600 mètres).

Sur place, force est de constater qu’un voile de pollution recouvre Lyon, rendant le panorama laiteux, surtout en direction de l’est lyonnais et de l’Isère.

A l’intérieur de la Basilique, je ne fais que quelques photos, car il est 11h, et une messe commence.

Pour la première fois, je visite la crypte de Fourvière, et il y a trop de merveilles à voir que je vais me contenter de photographier l’architecture.

Pour revenir en Presqu’île, je fais le choix de descendre la Montée Saint-Barthélemy, qui offre plusieurs points d’intérêt.